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jeudi 16 décembre 2010

Choix de l'aménageur en Conseil de Communauté


Mercredi 15 décembre 2010, le Conseil d’Agglomération a délibéré, outre le budget 2011, sur le choix de l’aménageur de la ZAC des Portes de Bondoufle.

Le Maire de Bondoufle a rappelé les grandes lignes du projet, et, point important, a répété ce qu’il avait annoncé en Conseil Municipal concernant la communication et la réouverture de la concertation (voir notre article du 13 décembre).

Notre conseiller général Francis Chouat a explicité sa position. Du fait de la crise du logement particulièrement vive en Ile-de-France, il adhère totalement à un projet visant à répondre à la demande, et rappelle d’ailleurs que personne, dans une attitude démagogique, ne peut faire mine aujourd’hui de découvrir qu’un tel besoin et une telle envie de construire existe sur la ville.
Les points d’attention que Francis Chouat a pointés :
- Il est indispensable de partager cette ambition avec les habitants et les voisins, communes et agglomérations.
- La concertation va se développer et devra se poursuivre tout au long du projet. Mais il faut aussi faire preuve de pédagogie, en portant attention aux inquiétudes des habitants actuels, car la construction d’un nouveau quartier a nécessairement un impact sur la ville existante, qu’il faut réfléchir.
- Des ZAC en cours ou en projet existent ailleurs dans l’agglomération, chacune avec des particularités. Mais en aucun cas la population ne sera déplacée d’une commune à l’autre. Il ne faut pas se laisser prendre aux manipulations qui laissent croire que Bondoufle verrait arriver des « hordes » de familles déplacées d’autres quartiers populaires voisins. C’est faux. L’engagement de l’agglomération est ferme à ce sujet.
- Toute ZAC se construit sur une longue période, ici entre 15 et 20 ans. Il y aura forcément des évolutions du projet, des adaptations en fonction de la situation économique, démographique ou des besoins. Des avenants accompagneront chacun de ces changements.

Le Président de la communauté d’agglomération, Manuel Valls, a ensuite rappelé ce qu’il appelle la « jurisprudence Hartz » puisqu’il s’agit d’un principe posé entre élus communautaires lorsque Jean Hartz présidait la CAECE : l’agglomération accompagne les projets qui restent ceux des maires, véritables chefs de file. Le Maire de Bondoufle est donc bien le pilote du projet des Portes de Bondoufle.

L’agglomération soutient d’autant plus les objectifs du projet qu’il répond à une ambition de notre territoire. En effet, dans un contexte où la question du logement est cruciale pour beaucoup d’habitants de la région parisienne, il fallait saisir l’opportunité qui s’est ouverte en 2008 après la levée du plan d’exposition au bruit de la base de Brétigny. Ne pas le faire eût été irresponsable.

En revanche, l’agglomération porte une attention particulière à la qualité des projets et la qualité des services qui seront proposés dans la ZAC, sur les plans de l’urbanisme, de l’architecture, de l’environnement, des paysages, etc. Manuel Valls souhaite enfin que tous les élus de l’agglomération, engagés ensemble dans ce projet, aient une attitude exemplaire.

Finalement, le choix de l’aménageur s’est porté sur l’AFTRP.

mardi 14 décembre 2010

Notre demande est enfin entendue : le Maire annonce l'ouverture de la concertation !

Depuis octobre 2008, la gestion du projet des Portes de Bondoufle par le Maire nous préoccupe. Nous avons fait de multiples interventions et articles sur ce sujet.

Depuis la rentrée 2010, l’évolution du projet hors de toute concertation réelle avec la population est devenue inquiétante et source de division au sein des Bondouflois.

C’est notamment pourquoi nous avons organisé une nouvelle réunion publique le 26 novembre dernier.
Nos objectifs étaient de faire le point sur l’avancement du projet, rappeler nos propositions concrètes et affirmer notre détermination à obtenir la réouverture du dossier et la mise en place de moyens appropriés d’information et de concertation. Nous avons prolongé cette action dans le cadre normal de fonctionnement du conseil municipal en posant des questions écrites au Maire lors de la séance du 9 décembre (voir article du samedi 27 novembre ci-après).

Grâce à nos actions positives et à la pression exercée par le Président de la Communauté d’Agglomération, le Maire a finalement accepté de mettre en œuvre un plan de communication et d’ouvrir la concertation (voir ci-dessous). Nous serons très vigilants quant à sa mise en œuvre.

Bondoufle Énergies Nouvelles continuera à s’engager pour que ce projet devienne celui de tous les Bondouflois et non celui du Maire. Nous utiliserons tous les moyens à notre disposition pour atteindre cet objectif, en refusant de cautionner les actions outrancières et alarmistes auxquelles nous avons assisté ces derniers temps.



CONSEIL MUNICIPAL DU 9 DECEMBRE 2010
REPONSE AUX QUESTIONS ECRITES DES ELUS D’OPPOSITION



Suite à un entretien avec Manuel VALLS, Président de la Communauté d’Agglomération Evry Centre Essonne, le Maire Jean Hartz nous entend et relance la concertation :

PORTES DE BONDOUFLE
- Concertation en cours d’élaboration avec la Communauté d’Agglomération Evry Centre Essonne.
- La question de la communication en période électorale (cantonales) doit être vérifiée ; consultation juridique – réponse vers le 15/12.
- Projet d’un espace de communication sur le terrain des Portes de Bondoufle (type bulle de vente).
- Mise en place d’un blog : M. HARTZ précise que le choix des architectes sera issu des avis des habitants sur ce blog.
- Informations régulières et identiques sur les sites de la ville et de la Communauté d’Agglomération et au même moment.
- Mise en place d’une commission d’aménagement pour les conseillers municipaux et même pour ceux de l'opposition.
- Mise en place d’ateliers thématiques : transports, développement durable, déchets, ….
Confirmation de tous ces points mi-janvier/mi février

COMMUNICATION DES COMPTES-RENDUS DE LA NOUVELLE COMMISSION DE CONCERTATION
- Les comptes-rendus concernant le PLU sont sur le Site Internet de la ville ;
- La commission n’a pas été réactivée car trop restrictive selon le Maire ; «et pour éviter le colportage de mauvaises informations, d’informations alarmistes, etc…».
- Pour les comptes-rendus de cette commission «donc il n’y a rien sur internet, ne me demandez pas de publier du rien, si pas de commission, pas de compte rendu».

COMMUNICATION SUR LES PORTES DE BONDOUFLE A CHAQUE CONSEIL
- "vous avez la réponse dans celle de la 1ère question"



Ne boudons pas notre plaisir, nous venons d'enregistrer un premier succès. A suivre !

lundi 13 décembre 2010

Des tarifs de services municipaux toujours aussi incompréhensibles


Le Conseil Municipal du 9 décembre 2010 a eu à se prononcer sur l’évolution d’une quinzaine de tarifs municipaux pour l'année 2011.

Il nous est d’abord rappelé le principe de base : 50% du coût de la prestation est pris en charge par la municipalité.

La plupart des tarifs soumis au vote intègrent une notion de « quotient familial » (tranches 1 à 7).
Par contre, soit ce quotient familial varie d’un tarif à l’autre, soit sa mise en œuvre obéit à des règles obscures, non écrites qui aboutissent à des écarts considérables entre les tranches selon les tarifs.

Deux exemples :
- pour la restauration scolaire, le prix payé par la tranche 1 est de 76% du prix payé par la tranche 7, soit une très faible dégressivité : les plus bas revenus paient le repas 2,62€, les plus hauts 3,41.
79 centimes d’écart par repas, si l’on compte 20 repas dans le mois, ça ne fait que 15,8€ d’écart sur la facture !
- pour les accueils périscolaires, selon l’horaire d’accueil !), le prix payé par la tranche 1 varie de 39% à 47% de celui payé par la tranche 7 : il s’agit d’écarts d’une trentaine de centimes…

Les pourcentages appliqués aux autres tarifs se situent entre ces 2 extrêmes, sans aucune logique.

En commission des finances, nous avons soulevé ces incohérences, il nous a été répondu qu’il s’agissait d’un problème d’arrondis. Nous n’en croyons rien ! C’est surtout la traduction du fait que l’équipe municipale en place n’a pas de véritable politique d’aide aux familles, et n’a fini par intégrer le quotient familial dans ses tarifs que contrainte et forcée par la CAF.

En conseil municipal, le Maire nous a dit qu’il se contentait de reconduire mécaniquement (en les augmentant chaque année) des grilles de tarifs établies il y a des années par la même équipe qu’aujourd’hui, sans les remettre en cause…A quoi servirait-il de modifier des grilles de tarifs aussi absurdes ?

Seuls les tarifs votés pour la maison de la petite enfance sont cohérents. Et pour cause, ils sont établis sur le principe du taux d’effort mis en place par la C.A.F., calculé sur la base du revenu des familles et pondéré par le nombre d’enfants composant la famille. Souhaitant qu’on envisage de généraliser ce mode de calcul, il nous a été répondu qu’il était injuste…pour les tranches les plus hautes…

Par ailleurs, certains tarifs, comme ceux des classes de découverte à Lamoura (et ceux des colonies de vacances qui seront examinés dans un prochain conseil municipal) sont des tarifs uniques quels que soient les revenus et la situation de famille des participants.
Cela nous paraît particulièrement injuste.
En commission des finances, il nous a été répondu que le CCAS était prêt à étudier toute sollicitation en cas de difficulté financière d’une famille…Super ! Les familles à revenus modeste apprécieront.

Cela fait maintenant trois ans que nous demandons, sans succès, une remise à plat de l’ensemble des tarifs en étudiant la possibilité de tendre vers la généralisation du principe du taux d’effort, plus favorable aux familles à revenu modeste et moyen.

Nous continuerons à le faire.

dimanche 12 décembre 2010

Ventes de parcelles : La politique du fait accompli

Lors des conseils municipaux, il nous est souvent demandé d’approuver des cessions de parcelles de terrain municipales à des particuliers, en général des riverains qui souhaitent « s’agrandir ».
Nous avons toujours pris le temps d’examiner au cas par cas les demandes. Ce qui n’est absolument pas le parti du Maire qui préfère vendre systématiquement pour réduire l’entretien des espaces verts, souvent en dépit du bon sens. Peu à peu, notre ville qui offrait de nombreux espaces verts collectifs est dénaturée.
En effet, de nombreux riverains, ne voyant que leur intérêt personnel, demandent à acheter des espaces. Très rarement il a pu s’agir de mettre en cohérence des espaces découpés à l’origine de façon curieuse. Mais la plupart du temps les motifs invoqués sont contestables. Le Maire ne devrait pas accéder à ces demandes qui nuisent à la bonne gestion des intérêts municipaux et qui se rapprochent davantage du clientélisme.
Jusqu’ici, beaucoup de ventes de parcelles nous ont posé question dans la mesure où ces terrains « privatisés » supprimaient des espaces verts collectifs ou des sentiers de circulation douce utiles dans des quartiers enclavés. Selon nous par exemple, le fait de constater que beaucoup de haies n’ont pas été taillées depuis des années et débordent massivement sur des venelles ne suffit pas à justifier que l’on vende ces venelles aux riverains. L’autre motif fréquent de vente provient de ce que des terrains seraient trop souvent occupés par des individus de passage et génèrent pour les riverains inquiétude et nuisances. La question est sérieuse, mais relève plutôt de la prévention d’éducateurs ou de policiers municipaux… inexistants à Bondoufle !
Nous avons d’ailleurs atteint le comble de l’inconséquence lors du dernier Conseil Municipal du 9 décembre. A notre objection sur la vente d’un terrain municipal situé square Maryse Bastié « de forme irrégulière, clos (portail, haie), utilisé depuis des années par le propriétaire riverain à usage de jardin d’agrément », le Maire nous a répondu que le dit propriétaire s’étant définitivement « installé » sur ce terrain, il convenait de régulariser la situation en le lui vendant. Et ce bien qu’il soit dans le prolongement d’un espace vert municipal.
En un mot, squattez le domaine municipal, déterminez la surface dont vous avez besoin et posez une clôture. Allez ensuite voir le Maire et vous avez toutes les chances d’en devenir rapidement propriétaire !
La ville prendra également en charge 50% des frais de géomètres. Alors pourquoi se gêner ?
Les contribuables bondouflois apprécieront sûrement de participer à cette imposture.

Ainsi va la vie à Bondoufle…depuis des années !

samedi 11 décembre 2010

Démolir le local "scout" quand on manque de logements... une fausse bonne idée


La mairie a décidé la démolition du pavillon aux murs de brique appelé le « local scout », à l’entrée du square des Petits bois, face au stade des Trois-Parts. Outre la surprise de constater qu’une fois encore une décision est prise sans qu’elle ait été soumise au vote du Conseil Municipal, l’idée est saugrenue et de courte vue selon nous.

Ce local est en effet l’ancien local des Scouts de France, propriété de la commune et prêté aux scouts pendant des années, comme d’autres locaux sont prêtés à d’autres associations. Or les Scouts, qui se sont regroupés avec ceux de Ris-Orangis, n’utilisent plus ce local depuis des années, d’autant plus que les locaux doivent d’abord être remis aux normes pour servir à des activités déclarées à Jeunesse et Sport. Ne disposant pas des sommes nécessaires à des travaux lourds, les Scouts ont définitivement renoncé aux locaux.

Depuis plusieurs années, ce bâtiment vide laissé à l’abandon est régulièrement « visité ». Il faut trouver une solution, c’est certain.

L’idée du Maire pour lutter contre le squat et les problèmes de voisinage ? Puisque le local abandonné pose problème, détruisons-le !

Pourtant, les pistes pour de nouvelles utilisations possibles de ce pavillon ne manquent pas : en faire un ou deux logements sociaux, ou céder le local à un bailleur pour qu’il le rénove et le loue, il en manque tellement sur la ville ! Entièrement de plain pied, ce pouvait être aussi un logement idéal pour des personnes âgées ou handicapées.

Bien entendu, une telle idée doit être discutée en Conseil Municipal après une étude de faisabilité. Peut-être, au bout du compte, la décision de démolir sera-t-elle maintenue, en particulier si les travaux de mise aux normes s’avèrent trop lourds. Mais au moins la préoccupation d’offrir plus de logements accessibles un peu partout sur la ville aura-t-elle cherché une traduction concrète.

Depuis les dernières élections municipales de mars 2008, Bondoufle énergies nouvelles a toujours défendu l’idée qu’il fallait créer de nouveaux logements pour les familles, les jeunes actifs ou les plus âgés, mais en les répartissant au maximum sur toute la ville. C’est cela, privilégier la mixité sociale.

Encore une opportunité perdue...

mardi 7 décembre 2010

Soutien aux salariés du centre de tri

L’avenir du centre de tri une nouvelle fois en question...

Mardi 23 novembre, les salariés du centre de tri postal de Bondoufle et leurs syndicats ont manifesté devant la direction courrier de leur établissement à Évry, rejoints par des représentants d’autres sites de la Poste.
La direction de la Poste a en effet confirmé la fermeture du centre de tri de l’Essonne l’année prochaine et le reclassement des salariés. Mais c’est surtout l’incertitude et les non-dits entretenus par la direction qui pèsent plus que tout. Depuis plusieurs années, un projet de restructuration avec un regroupement de l’activité de tri au niveau régional est en discussion.
Un temps, la direction prévoyait de regrouper à Créteil la gestion des courriers du 91 et du 94 au sein d’une plateforme industrielle courrier (PIC). L’abandon de ce projet est l’occasion pour l’intersyndicale (CGT, CFDT, FO, CFTC, Sud-PTT) de revendiquer le maintien de centres de tri territoriaux dans chaque département. Mais la direction annonce cette fois choisir Wissous et non Bondoufle pour l’activité de tri…
La question essentielle concerne le devenir du centre de tri implanté à Bondoufle et de ses salariés. Le nouveau projet de le transformer en « plateforme de préparation et de distribution du courrier locale » (premier niveau de tri après la boîte aux lettres) convainc peu les syndicats qui sont devenus méfiants par les changements successifs.
L’association Bondoufle Énergies Nouvelles et ses 4 élus apportent leur soutien aux salariés du centre de tri qui vivent dans l’incertitude de leur avenir proche. Le centre de tri génère une activité importante dans la zone d’activité de la Marinière tout en n’apportant aucune nuisance à la population étant donnée la localisation, et elle génère des emplois importants pour les bondouflois. Par comparaison, le silence du Maire Jean Hartz semble peu compréhensible.