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vendredi 29 novembre 2013

Intervention de Sabine Nagel lors du premier débat public sur le projet de Grand stade de rugby, jeudi 28 novembre 2013, salle Robert Desnos

J’interviens comme conseillère municipale, du groupe d’opposition, de Bondoufle. Merci de me permettre cette intervention car, en tant qu’élus d’opposition, nous ne sommes pas associés aux discussions et aux travaux, mais cela n’empêche pas que nous avons à cœur de remplir aussi notre rôle de porte-parole des Bondouflois, au moins d’une partie d’entre eux.

Notre commune est directement partie prenante du projet, pas seulement au titre de l’agglomération à laquelle elle appartient, mais parce qu’une partie de l’emprise du projet global se trouve sur la ville. Pas le stade lui-même, mais donc une partie des équipements qui l’accompagneront.

Je veux saluer ce projet, qui constitue une chance de développement importante pour les années, voire les décennies à venir (emplois nouveaux, amélioration des transports, etc). Il est donc important de commencer par remercier la Fédération Française de Rugby pour son choix, M. Pierre Camou en particulier. J’y vois, au delà de la chance que nous avons de pouvoir proposer une seconde vie à l’hippodrome, une marque de confiance dans la capacité de notre territoire à participer à ce projet.

Puisque en effet, il s’agit bien en même temps d’un projet résultant d’une initiative d’une fédération sportive qui devient un projet totalement collectif, dans lequel chacun aura son rôle à jouer.

En tant qu’élue locale, il me semble que ce projet très structurant pour notre territoire doit répondre, au delà de la place de la grande banlieue et ses atouts dans le Grand Paris, à deux points d’attention particuliers :
1.     Il doit tirer toutes les villes vers le haut. La dimension qualitative du projet est essentielle.
2.     Il doit être accepté, je suis même tentée de dire, adopté, par les  habitants, les riverains en particulier. Ce débat est bien conçu dans ce sens.

C’est donc sur le premier point que je reviendrai, la dimension qualitative.

Les informations dont nous disposons aujourd’hui, sous réserve qu’elles soient bonnes, nous amènent à nous interroger sur la place de Bondoufle dans le dispositif. Je ne parle pas ici de la place sur les photos, je parle de la contribution de la ville et du retour qu’elle pourra en avoir.

Notre Maire, qui communique rarement sur le sujet (ce débat n’était même pas annoncé sur le site de la ville…), répète qu’il soutient le projet (heureusement !) mais il s’inquiète de la disparition du centre de loisirs de la ville à la Garenne, qui est sur l’emprise du projet, ainsi que de la contrainte nouvelle qu’il crée pour localiser le terrain d’accueil des gens du voyage. Ces questions existent. Il est surprenant que ce soit sa seule préoccupation.

Nous, élus de Bondoufle Energies Nouvelles, nous souhaitons aller beaucoup plus loin. Nous voulons être ambitieux pour la ville de Bondoufle, c’est notre rôle d’élus.

Dans nos interrogations qualitatives, nous avons d’abord une préoccupation environnementale forte : on ne peut pas accepter, comme unique contribution de la ville, que des hectares de verdure, prairies et bois, soient simplement transformés en des hectares de parkings. Nous sommes dans une zone où la somme des projets en cours fait courir un risque, si nous ne les maîtrisons pas, de rayer de la carte beaucoup de terres naturelles aujourd’hui, remplacées par une « artificialisation » dans le jargon des urbanistes aménageurs.

Nous ne sommes pas naïfs : oui, il faudra bien des parkings, mais la question que nous posons est celle de leur répartition équilibrée, même si nous savons que la facilité peut être de les mettre en masse à Bondoufle « pour faire simple ».

Réfléchir à ces parkings permet de faire d’une pierre deux coups en répondant en même temps à des besoins aujourd’hui non satisfaits (donc que le projet soit aussi positif pour la vie quotidienne des habitants) : d’abord, une partie de ces parkings localisés à la Garenne serait utile pour les activités du Stade Robert Bobin, lui aussi peut-être promis à une nouvelle vie dans ce cadre nouveau. Tout le monde sait qu’aujourd’hui les jours ou soirs de match les voitures envahissent alentours de façon anarchique. Mais il faut aussi des parkings nouveaux près de la gare d’Orangis-Bois de l’Epine, dont les parkings actuels sont plus que saturés, ce qui peut servir aussi au Plan 2,. Mais également à proximité de l’arrêt de tram-train Evry-Massy.
Pour ces gares ou arrêts, les populations locales y gagneraient au quotidien, et nombreux sont les Bondouflois qui se rendent là-bas pour prendre le RER.

Ensuite (et enfin pour ce soir), nous savons combien la FFR annonce depuis le début vouloir réaliser un projet qui vive même sans match, ce qui rencontre facilement l’accord des élus. Pour bien insérer le projet de cluster du sport et de village de loisirs dans son environnement, et donc en partie à Bondoufle, nous pensons que notre ville a un atout, parce que l’on peut créer un axe reliant le golf au stade et au bois de St Eutrope : le long de cet axe, de vastes espaces sont encore disponibles et « verts » (malgré quelques entrepôts malheureusement implantés récemment), ces espaces sont propices au développement d’activités de loisirs et d’hébergement. Nous souhaitons que cette piste soit étudiée, et proposons d’y participer.

La réunion de la fin janvier étant précisément consacrée à cette insertion du projet dans son environnement, nous pourrons apporter des précisions à ce moment-là.

Merci pour votre attention


jeudi 7 novembre 2013

Soutien aux salariés de STAPLES de Bondoufle


Avec une délégation de Bondoufle Energies Nouvelles, Sabine NAGEL est allée soutenir les salariés de STAPLES, implantée dans la zone des Bordes à Bondoufle qui ont débrayé cet après-midi : après les dégraissages pratiqués en 2009, puis de nouveaux investissements, une nouvelle réorganisation est en projet, qui met en péril plus de 80 emplois dans cette unité.
Des collègues de cette entreprise dans le Val d'Oise étaient venus les rejoindre, par solidarité et pour partager les informations... Ce groupe, géré à l'américaine, ne fait pas grand cas des "ressources humaines" !